La vie simple est portée par la nécessité de respecter les limites des ressources naturelles, par l’aspiration à la justice qui consiste à partager la condition de la majorité pauvre (mais pas misérable) de la population, par une certaine conception du bonheur. C’est souvent un choix radical, et concrètement repérable : • D’un point de vue spirituel, il s’agit d’orienter sa vie, non pas vers la recherche des biens de ce monde, mais vers le salut, l’amour de Dieu. Il n’y a pas de norme mais plutôt un processus. • D’un point de vue écologique, le niveau de consommation dans les pays riches est devenu incompatible avec le maintien de …
article paru dans la revue Christus, mai 2012, n° 234