Le groupe « Ecologie, paroles de chrétiens » s’est réuni entre 2010 et 2013 à l’initiative du Diocèse de Nantes. En croisant des compétences diverses (scientifiques, économiques, juridiques, philosophiques et théologiques), il a eu pour mission de travailler sur les enjeux de l’écologie à la lumière de la tradition chrétienne. Cet ouvrage (de 250 pages) est le fruit de sa réflexion.
Le groupe : Rémi DETERRE, Arnaud du CREST, Elisabeth GUIST’HAU, Jean-Noël HALLET, Marie-Martine HALLET, Loïc LAINE, André-Hubert MESNARD, Yves TEXIER, Philippe VINCENT.
Plus d’un siècle de croissance démographique associée à des activités humaines non régulées sont à l’origine des changements majeurs que subit notre environnement. Nous sommes tous concernés par cette crise à la fois comme habitants du monde et comme citoyens appelés à contribuer à la justice et au partage. Nous n’entendons pas ici donner des réponses définitives aux questions qui interpellent aujourd’hui les chrétiens dans le domaine de l’écologie, mais fournir quelques clés pour aider à comprendre les diverses tendances qui traversent ce mouvement de pensée, décrypter les origines de la crise et analyser dans la limite de nos compétences les solutions qui sont proposées par les uns et par les autres. A la lumière des apports de la théologie et des textes d’Eglise nous espérons également donner à réfléchir sur la place de l’homme et sur sa responsabilité dans la Création.
Conscients de la gravité et de l’urgence des choix qu’il faudrait faire et dont dépend l’avenir du monde que nous léguerons à nos enfants, nous nous refusons cependant à une pensée écologique de type apocalyptique dont la seule incitation au changement serait mue par l’anxiété face au néant et par le seul instinct de conservation. Nous appelons à trois conversions, choisies librement : renouveler nos relations avec Dieu, avec nos frères, et avec la nature.
Cet ouvrage comporte trois parties :
- Les origines de la pensée écologique du point de vue philosophique, théologique, économique social et environnemental,
- Repenser notre société aujourd’hui : technologie, démocratie, pensée sociale de l’Église,
- Vivre autrement : les limites de la charité, le bonheur de la vie simple, Pour une liturgie plus écologique.
Édité par le Service diocésain de formation,
20 rue de la Gourmette, BP 31917, 44319 Nantes cedex 3, formdioc44 (a) free.fr tél 02 40 16 07 80
Prix de vente public : 8 € en librairie, 13 € par correspondance
Bonjour, j’aimerais SVP attirer votre attention qu’il est urgent de trouver un moyen de faire mieux connaître le monde des paysans qui est entrain de disparaître.L’Eglise Catholique peut être un RESEAU pour mieux relier ce monde du SILENCE vécu au quotidien pour survivre – levés à 5h du matin, couché à 23,h, 24 h sur 24 et chaque jour que Dieu fait – à celui SOUS LES PROJECTEURS des plus nantis de la ville. Il y a un énorme fossé qui ne cesse de se creuser et ce serait bien que nous chrétiens allions plus sur le terrain.
Chaque année où je vais en vacances dans une petite vallée du centre de la France, j’apprends le suicide d’un fils, d’un père, la dépression d’un jeune et d’un moins jeune (on se lève pour perdre de l’argent !) à cause des conditions infernales. Faites dire qu’un litre de lait leur est acheté 0,15 € le litre alors qu’en supermarché vous l’acheter 1 €. et arrêter de parler en tonnes…. à la TV et la radio….. Qui continue à s’en mettre plein les poches : les prédateurs comme les chaines de distribution internationales ?
Nous avons une grande responsabilité à dire ce que font ces gens, d’où ils viennent : ils sont notre PATRIMOINE CHRETIEN. Je lance un cri d’alarme….. et je vous dis quelque chose : ce sont les réfugiés d’Orient qui vont nous aider à faire revivre ce monde là. récemment une cave viticole du sud a embauché un réfugié syrien qui s’y connaissait en vin…. et bien cette personne elle sait ce qu’est la culture paysanne de notre beau pays et ce sera lui-même et ses enfants, même s’il est musulman – qui vont défendre notre ART de vivre « à la Française »…. parce qu’il sait apprécier la vie en Europe alors qu’il a vécu la guerre ailleurs.
Un réseau ville-campagne, voire un parrainage de personnes à personnes pourrait être lancé ne serait-ce que pour mieux se connaitre et s’ECOUTER, cela est facile et notre grande maison CATHOLIQUE FRANCAISE doit se lancer d’une manière u r g e n t e, parce que les bavardages, les blabla ça ne sert à qu’à faire du vent. Passons à l’action.
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